Les cascades de l’oued Aggai : lieu de promenade pour les habitants de la ville, qui viennent chercher ici un peu de fraîcheur pendant la saison chaude...
La koubba de Sidi bou Ali Serghine :
Lieu saint (qui ne se visite pas) construit à proximité de la source miraculeuse de Lalla Rekia, avec une belle vue étendue de Sefrou, entouré de son tapis de verdure, que l’on compare à une oasis sans palmiers…
jeudi 27 décembre 2007
jeudi 13 décembre 2007
Marrakech, le barrage & le lac de Lalla Takerkoust
Où dormir à Marrakech?
En sortant de Marrakech en direction de Tizi n’Test, à 5 km, prendre l’embranchement de droite , direction Amizmiz. Construit sous le Protectorat entre 1929 et 1935, le barrage de Lalla Takerkoust permet, avec son lac de 7 km de long, l’irrigation de 5 000 hectares dans la plaine du Haouz.
En été, fuyant la chaleur étouffante de Marrakech (il y fait régulièrement 10 à 15 degrés de moins…), on peut s’adonner sur ce généreux plan d’eau à de nombreuses activités : baignade, pêche, pédalo, canoë, planche à voile, et même jet ski et quads !
En sortant de Marrakech en direction de Tizi n’Test, à 5 km, prendre l’embranchement de droite , direction Amizmiz. Construit sous le Protectorat entre 1929 et 1935, le barrage de Lalla Takerkoust permet, avec son lac de 7 km de long, l’irrigation de 5 000 hectares dans la plaine du Haouz.
En été, fuyant la chaleur étouffante de Marrakech (il y fait régulièrement 10 à 15 degrés de moins…), on peut s’adonner sur ce généreux plan d’eau à de nombreuses activités : baignade, pêche, pédalo, canoë, planche à voile, et même jet ski et quads !
jeudi 6 décembre 2007
Rabat, le Royal Golf
Admirablement dessiné par Sr Robert Trent Jones, c’est incontestablement l'un des plus prestigieux golfs de la planète.
Ces 36 trous + 9 écoles font rêver les golfeurs du monde entier. La Fédération Royale Marocaine de Golf et le Trophée Hassan II qui s'y déroule chaque année en ont fait un golf de renommée internationale. Chaque coup doit être réfléchi et les bunkers ont été disposés de façon à happer les drives les plus osés, d'éblouissants fairways parmi les cyprès, palmiers, eucalyptus, chênes-lièges, les agrémentant de luxuriants ficus, bananiers, papyrus, y répandant les senteurs délicates des mimosas,
roses, jacinthes, hibiscus, narcisses...
Parcours Rouge : 6702 m 18 trous par 73 ; Descendre sous le score de 70 est un exploit que peu de professionnels réussissent. Indispensable de bien placer son drive, les arbres et le sable ne pardonnent pas. L'eau non plus. Elle fait entrer le trou 9 dans la légende avec ses 172 mètres à jouer au dessus des nénuphars. Elle accompagne les 481 mètres du 12 et ferme les angles de son green. Sur l'autre rive, elle se montre source de beauté, sublime miroir de colonnes romaines, issues de l'antique cité de Volubilis.
Parcours Bleu : 6220 m -18 trous - par 72 ; Buissons de marguerites blanches, massifs de fleurs des champs, roses, oranges, rouges, tapis de fleurs violettes: les fairways possèdent un charme bucolique. Le trou 11, romantique et sublime par 4, recèle un green blotti entre des eucalyptus, un bunker de sable rouge et un étang survolé par des poules d'eau. Ce 18 trous par 72 se montre plus accessible que le parcours rouge. Mais attention à votre jeu, le parcours bleu cache bien le sien.
Parcours Vert : 2060 m - 9 trous - par 32 ; Moins de contraintes et plus d'aisance pour ce clément 9 trous, formé uniquement de par 3 et 4 aux solutions divertissantes. Ne vous laissez pas trop distraire par les jolis pique-boeuf qui suivent le jeu coup à coup.
Ces 36 trous + 9 écoles font rêver les golfeurs du monde entier. La Fédération Royale Marocaine de Golf et le Trophée Hassan II qui s'y déroule chaque année en ont fait un golf de renommée internationale. Chaque coup doit être réfléchi et les bunkers ont été disposés de façon à happer les drives les plus osés, d'éblouissants fairways parmi les cyprès, palmiers, eucalyptus, chênes-lièges, les agrémentant de luxuriants ficus, bananiers, papyrus, y répandant les senteurs délicates des mimosas,
roses, jacinthes, hibiscus, narcisses...
Parcours Rouge : 6702 m 18 trous par 73 ; Descendre sous le score de 70 est un exploit que peu de professionnels réussissent. Indispensable de bien placer son drive, les arbres et le sable ne pardonnent pas. L'eau non plus. Elle fait entrer le trou 9 dans la légende avec ses 172 mètres à jouer au dessus des nénuphars. Elle accompagne les 481 mètres du 12 et ferme les angles de son green. Sur l'autre rive, elle se montre source de beauté, sublime miroir de colonnes romaines, issues de l'antique cité de Volubilis.
Parcours Bleu : 6220 m -18 trous - par 72 ; Buissons de marguerites blanches, massifs de fleurs des champs, roses, oranges, rouges, tapis de fleurs violettes: les fairways possèdent un charme bucolique. Le trou 11, romantique et sublime par 4, recèle un green blotti entre des eucalyptus, un bunker de sable rouge et un étang survolé par des poules d'eau. Ce 18 trous par 72 se montre plus accessible que le parcours rouge. Mais attention à votre jeu, le parcours bleu cache bien le sien.
Parcours Vert : 2060 m - 9 trous - par 32 ; Moins de contraintes et plus d'aisance pour ce clément 9 trous, formé uniquement de par 3 et 4 aux solutions divertissantes. Ne vous laissez pas trop distraire par les jolis pique-boeuf qui suivent le jeu coup à coup.
vendredi 16 novembre 2007
Meknès, le Pavillon des ambassadeurs
Le Pavillon des ambassadeurs est Situé à l'intérieur de la Kasbah Ismaïlienne dernière la porte dite Bab El Mansour Laalej.
Il sagit un pavillon isolé de forme carré construit a la fin du XVIIeme siècle par le Sultan Moulay Ismaïl qui y recevait les ambassadeurs et les émissaires étrangers en visite à Meknès. Sur le mur de fond de la salle figure la plaque commémorant l'inscription de la ville de Meknès au patrimoine mondial par l'UNESCO en décembre 1996.
Il sagit un pavillon isolé de forme carré construit a la fin du XVIIeme siècle par le Sultan Moulay Ismaïl qui y recevait les ambassadeurs et les émissaires étrangers en visite à Meknès. Sur le mur de fond de la salle figure la plaque commémorant l'inscription de la ville de Meknès au patrimoine mondial par l'UNESCO en décembre 1996.
lundi 22 octobre 2007
Casablanca, le Royal golf d’ Anfa
En plein coeur de Casablanca, colline résidentiel d'Anfa, golfeurs et cavaliers se partagent sportivement l'hippodrome puisqu'il sert aussi de cadre aux 9 trous.
Parcours bien que court mais très technique exige tout au long de ces 2710 mètres beaucoup d’adresse. Les golfeurs de bon niveau feront la différence sur ses fairways.
Depuis la terrasse du club-house on embrasse d'un seul coup d'oeil le superbe jardin fleuri avec, au loin, le minaret de la célèbre mosquée Hassan II.
Parcours bien que court mais très technique exige tout au long de ces 2710 mètres beaucoup d’adresse. Les golfeurs de bon niveau feront la différence sur ses fairways.
Depuis la terrasse du club-house on embrasse d'un seul coup d'oeil le superbe jardin fleuri avec, au loin, le minaret de la célèbre mosquée Hassan II.
lundi 8 octobre 2007
Safi, présentation de la ville
Safi s’étale en bordure de l’Atlantique au fond d’une anse encadrée de falaises. Elle offre le triple attrait d’anciens édifices portugais, d’un port très actif et d’une cité vivante, avec une médina grouillante et son célèbre quartier des potiers.
Safi est l’une des capitales marocaines de la céramique, avec sa production au bleu profond. Un musée local lui est consacré, aménagé dans une ancienne forteresse portugaise, la Kechla.
Au 20ème siècle, le renouveau de la ville est venu de la pêche industrielle : la sardine est la spécialité de Safi depuis que le développement de la conserverie a ouvert à ses pêcheurs un énorme marché. Puis les phosphates, qui ont envahi les quais, ont entraîné l’extension et la modernisation du port (développant une vaste zone industrielle).
Safi est l’une des capitales marocaines de la céramique, avec sa production au bleu profond. Un musée local lui est consacré, aménagé dans une ancienne forteresse portugaise, la Kechla.
Au 20ème siècle, le renouveau de la ville est venu de la pêche industrielle : la sardine est la spécialité de Safi depuis que le développement de la conserverie a ouvert à ses pêcheurs un énorme marché. Puis les phosphates, qui ont envahi les quais, ont entraîné l’extension et la modernisation du port (développant une vaste zone industrielle).
mercredi 26 septembre 2007
Safi, le quartier des potiers
Le quartier des Potiers occupe les pentes de la colline, où une centaine d’artisans, qui trouvant sur place une argile de bonne qualité, s’y sont établis...
On peut voir les fours devant lesquels s’activent les potiers qui ont fait la célébrité de la ville ; en contrebas, une longue galerie marchande et l’école de la coopérative où l’on peut suivre toutes les étapes de la fabrication : le tournage, la décoration et la cuisson
jeudi 6 septembre 2007
Meknès, Rirha ou l'antique de Gilda
Situé à 8 Km au nord de Sidi Slimane sur la rive droite de l’oued Beht, (environ 80 km au nord de Mekhnès et à l’Est de Kenitra)
Bien que le site de Rirha, ne soit que partiellement dégagé, les fouilles permettent d’indiquer la présence romaine située entre le Ier siècle après J.-C. et le IIIème.
Les traces d’une enceinte construite en blocage parementé, qui devait être percée d’une porte, les restes d’un établissement thermal, un bâtiment composé de six pièces ouvertes sur un péristyle à quatre colonnes et dont les trois centrales conservent des traces de fresques sont les seules vestiges actuellement visibles sur le site.
Le site de Rirha est identifié comme la ville antique de Gilda citée dans les sources antiques.
Bien que le site de Rirha, ne soit que partiellement dégagé, les fouilles permettent d’indiquer la présence romaine située entre le Ier siècle après J.-C. et le IIIème.
Les traces d’une enceinte construite en blocage parementé, qui devait être percée d’une porte, les restes d’un établissement thermal, un bâtiment composé de six pièces ouvertes sur un péristyle à quatre colonnes et dont les trois centrales conservent des traces de fresques sont les seules vestiges actuellement visibles sur le site.
Le site de Rirha est identifié comme la ville antique de Gilda citée dans les sources antiques.
mercredi 5 septembre 2007
Festival Gnaoua d’Essaouira
Les Gnaoua sont les descendants d'anciens esclaves originaires d'Afrique Noire. Constitués en confrérie à travers le Maroc, les Gnaoua sont des maîtres musiciens (maâlem), des joueurs de crotales, des voyantes, des médiums et des adeptes.À l'heure du festival, Essaouira, ancienne Mogador, s'éveille aux cris des mouettes et s'endort aux sons du Guembri et des qraqebs.
Le festival Gnaoua d’Essaouira attire des visiteurs du monde entier et se tient mi-juin sur la place des fêtes devant Bab Sbaa. Essaouira est méconnaissable durant ce festival - toute la ville vit dans la fièvre gnaoua. Tous les hôtels sont réservés des mois à l’avance, et toutes les chambres qui peuvent être libérées pendant la fête sont louées à prix d’or.
Le festival Gnaoua d’Essaouira attire des visiteurs du monde entier et se tient mi-juin sur la place des fêtes devant Bab Sbaa. Essaouira est méconnaissable durant ce festival - toute la ville vit dans la fièvre gnaoua. Tous les hôtels sont réservés des mois à l’avance, et toutes les chambres qui peuvent être libérées pendant la fête sont louées à prix d’or.
mardi 3 juillet 2007
Asilah, le Cromlech de M'zora ou M’Soura
Situé à 25 km au Sud d’Asilah en direction de Larache, le tertre de M'zora ou Cromlech de M’Soura est l'un des plus célèbres monuments funéraires du nord-ouest marocain.
Cromlech de M’Soura est composé d’un cercle de 167 menhirs entourant un tumulus de près de 55m de diamètre, la plus haute de ces monolithes mesure plus de 5 m.
Selon la légende, ce monument serait la tombe du géant d'Antée, fils de Neptune et de la Terre, après qu’Hercule l’eut terrassé.
mardi 26 juin 2007
Fès, histoire de la ville
La médina de Fés a été érigée au carrefour de différentes destinations nord-sud et est-ouest. Cette position stratégique permet au site de contrôler le débouché du couloir de Taza, passage obligé entre les plaines Atlantiques à l'ouest et le reste du Maghreb...
Le premier noyau de la ville connue sous le nom de Fès al Bali, fut fondé par Idris 1er, en 789 J-C sur la rive droite de l'oued Fès à l'emplacement du quartier dit des Andalous. Cette appellation provient du premier peuplement de la ville qui, en plus des autochtones, reçoit des familles de réfugiés andalous après la célèbre émeute du faubourg de Cordoue survenue en 817.
En 908, le fils d’Idris Ier fonde une nouvelle ville sur la rive gauche de l'oued Fès, face au quartier des andalous, à l'emplacement du quartier des Kairouanais. La ville fut entourée d'une enceinte percée de six portes et dotée d'une mosquée.
La ville fut entourée d'une enceinte percée de six portes et dotée d'une mosquée. Dans la ville d'en face, Idriss Il fit également construire une enceinte, une mosquée, un palais et un marché.
En 1143, au terme d'un siège de neuf mois, Fès est occupée par les Almohades (1130-1269). Derrière ses murailles, la ville s'organise comme Marrakech, elle possède ses lieux de culte, de commerce, son système d'approvisionnement en eau, ses corporations, son aristocratie...
Avec les Mérinides qui la conquièrent au milieu du Xlllème siècle, Fès devient capitale du Maroc et connait son âge d'or. Leur premier grand souverain, Abou Youssef Yacoub (1258-1286) fonde Fès Jdid (la Neuve) en 1276, immédiatement à l'ouest de la ville, la fortifie d'une enceinte puissante, la dote d'une grande mosquée, de quartiers résidentiels, de palais (disparus), de jardins.
Au XlVème siècle, un quartier juif, le premier Mellah du Maroc, vint s'adjoindre à la nouvelle fondation. Mais les Mérinides s'annoncent surtout comme bâtisseurs de medersas, ces collèges caractéristiques différents de taille et de décor, rivalisant de beauté et de symétrie, organisés autour d'un patio à portique plus ou moins vaste dont le centre est occupé par une vasque ou un bassin.
jeudi 14 juin 2007
Tétouan, histoire de la ville
Tétouan semble avoir existée depuis la conquête arabe, elle fut connue sous le nom de Tittawin qui signifie sources en langue berbère.
Certains auteurs attribuent la fondation de cette ville au soufi andalous Sidi Abdelkader Tabine qui s’installa à Tétouan vers 1148 et il commença à urbaniser le site de Tétouan pour la première fois par la construction d’un ensemble de demeures, d’une mosquée, des boutiques et des moulins.
En 1286 Abou Youssef Ya’coub le Mérinide fit construire la Qasba de Tétouan qui a été utilisée comme base militaire pour le siège de Sebta.
En 1307, Abou Tabit Emir mérinide fit construire un grand
faubourg autours de cette Qasba qui a été bâti par son prédécesseur.
Aux environ de 1437 la ville a été détruite, probablement par les Portugais de Sebta, elle reste ruinée et abandonnée jusqu’à la fin du XV ème siècle où elle fut reconstruite.
Selon de nombreuses sources historiques, la reconstruction de la ville de Tétouan devrait se situer vers 1492-93, juste après la chute de Grenade. Elle était l’oeuvre d’Abou Al Hassan Ali Al Mandari un réfugié andalou de la région de Grenade.
Juste après sa reconstruction en 1493 et au moment où toutes les villes de la côte méditerranéenne étaient occupées par les Portugais et les Espagnols, la ville de Tétouan était devenue à la fois une base du Jihad, un centre de négoce et un foyer de piraterie parmi les plus renommés dans le bassin méditerranéen.
Parallèlement à ces activités, la ville continuait à attirer d’autres flux migratoires d’origine andalouse et allait connaître un grand développement urbain qui s’est traduit par la création de nouveaux quartiers qui se sont greffés au premier noyau formé de Hay Al-Balad et la Qasba de Sidi Al-Mandri.
Certains auteurs attribuent la fondation de cette ville au soufi andalous Sidi Abdelkader Tabine qui s’installa à Tétouan vers 1148 et il commença à urbaniser le site de Tétouan pour la première fois par la construction d’un ensemble de demeures, d’une mosquée, des boutiques et des moulins.
En 1286 Abou Youssef Ya’coub le Mérinide fit construire la Qasba de Tétouan qui a été utilisée comme base militaire pour le siège de Sebta.
En 1307, Abou Tabit Emir mérinide fit construire un grand
faubourg autours de cette Qasba qui a été bâti par son prédécesseur.
Aux environ de 1437 la ville a été détruite, probablement par les Portugais de Sebta, elle reste ruinée et abandonnée jusqu’à la fin du XV ème siècle où elle fut reconstruite.
Selon de nombreuses sources historiques, la reconstruction de la ville de Tétouan devrait se situer vers 1492-93, juste après la chute de Grenade. Elle était l’oeuvre d’Abou Al Hassan Ali Al Mandari un réfugié andalou de la région de Grenade.
Juste après sa reconstruction en 1493 et au moment où toutes les villes de la côte méditerranéenne étaient occupées par les Portugais et les Espagnols, la ville de Tétouan était devenue à la fois une base du Jihad, un centre de négoce et un foyer de piraterie parmi les plus renommés dans le bassin méditerranéen.
Parallèlement à ces activités, la ville continuait à attirer d’autres flux migratoires d’origine andalouse et allait connaître un grand développement urbain qui s’est traduit par la création de nouveaux quartiers qui se sont greffés au premier noyau formé de Hay Al-Balad et la Qasba de Sidi Al-Mandri.
jeudi 24 mai 2007
Zagora
Tout comme Ouarzazate, Zagora, a été crée sous le Protectorat français comme centre administratif - fut également le berceau des Saadiens, qui entreprirent la conquête du Maroc au XVI ème siècle.
Tombouctou, 52 jours de chameau » : toute la mythologie et la fascination du désert sur ce célèbre panneau…il signe la vocation ancienne de Zagora, dernière étape de la route caravanière. Pour ceux qui rêvent de la grande aventure saharienne, les environs de Zagora permettent d’effectuer quelques excursions courtes –les premières dunes sont à 26 km – ou beaucoup plu longues, vers Mhamid notamment.
A voir : le Djebel Zagora, qui offre un panorama sur le désert et la palmeraie très intéressant – excursion à faire au lever ou au coucher du soleil de préférence (avec un 4x4, on peut accéder jusqu’à la moitié du parcours, ensuite il faut poursuivre à pied)
mercredi 2 mai 2007
Tiznit, la Médina
Les remparts de 7 km de long et 8 m de haut sont flanqués de 56 tours et percés de cinq portes.
Les 5 portes : Bab Aglou, Bab el Khemis, Bab Targa, Bab el Maader et Bab Oulad Jerrar furent réalisées dans la plus pure tradition Alaouite et rappellent très fortement celles de la ville d’Essaouira.
lundi 30 avril 2007
Location de Villa au Maroc
La Villa Costes propose une grande réception dotée d'une cheminée centrale avec vue sur la piscine suspendue et la terrasse panoramique, 4 suites, leurs cheminées et salles de bains privatives....
TerreMaroc.com Location de Villa au Maroc
Location de Villa vous offre tous les avantages pour passerez un séjour
inoubliable au Maroc
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